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Festival de musique sacrée Armand Amar

Du pur bonheur pour les oreilles et le coeur…

ORATORIO DE ARMAND AMAR D’APRÈS LA LÉGENDE DE LEYLA ET MAJNUN, POUR LE FESTIVAL DES MUSIQUES SACREES…

« L’idéal naît de l’amour. Sans amour il n’y a pas d’idéal et quand l’amour fléchit, l’idéal disparaît. C’est pourquoi notre idéal ne peut pas être donné à quelqu’un d’autre, car chacun est attiré par une certaine forme de beauté, de bonté et de bonheur. À ce propos l’on peut citer l’histoire de Majnoun et de Leïla. Majnoun était un tout jeune homme qui aimait Leïla depuis l’enfance de l’amour le plus tendre. Mais ils n’appartenaient pas au même clan, de sorte que les parents étaient mécontents de ce sentiment réciproque et qu’ils cherchaient sans cesse à éloigner les jeunes gens l’un de l’autre. Un jour, un ami de la famille de Majnoun lui dit : « Mais cette Leïla que tu aimes avec tant de constance n’est pas plus belle que d’autres ! ». Majnoun répondit : « Pour voir Leïla il faut avoir les yeux de Majnoun ». Ces « yeux de Majnoun » sont les yeux de l’idéalisme, des yeux qui voient la beauté »

— Murshida Sharif Lucy Goodenough

Cet « oratorio mundi » du compositeur Armand Amar (célèbre pour ses musiques de films), se base sur des poésies bédouines du VIIe siècle : l’histoire de Qaïs et Leila transmise au fil du temps à travers de multiples formes et langues. Une grande traversée musicale et poétique des traditions orientales, de la Perse au monde arabe, qui révèle un amour mystique et universel présenté sous forme d’actes : vallée du désir, de la conquête, de la séparation, de la solitude, de l’unicité, de la perplexité et de l’anéantissement. Ce syncrétisme d’influences spirituelles et musicales met en présence une quarantaine d’artistes : chant diphonique de Mongolie, qawali pakistanais, samaa marocain, chant indien classique dialoguent avec les tambours du Japon, un ensemble à cordes occidentales sous l’égide de la violoniste Sarah Nemtanu, la maestria du doudouk arménien de Lévon Minassian, du oudiste marocain Driss el Maloumi, ou de l’ensemble de percussions de Shanghai…

Aimer comme une quête mystique jusqu’à la folie, l’amour humain, l’amour divin !

Composé par Armand Amar avec 40 musiciens de nombreux pays.

avec :

Nacer Khemir : conteur
Didier Benetti : direction
Naziha Meftah : chant
Levon Minassian : doudouk
Henri Tournier : flûtes
Haroun Teboul : ney
Driss El Maloumi : oud
Jasser Haj Youssef : viole d’amour

Esther supports

Il n'existe aucune difficulté dont on ne puisse venir à bout avec l'amour, par D'Ennett Fox

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